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Dossier Spécial Gel : un épisode météorologique dévastateur et inédit

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La première semaine d’avril a réservé une bien mauvaise surprise à tous les agriculteurs avec un épisode de gelée noire particulièrement intense et imprévisible. Beaucoup ont tout mis en œuvre pour sauver leurs productions.

Les prochaines semaines s’annoncent cruciales pour véritablement établir le bilan de la gelée noire de début avril qui a mobilisé toutes les forces des agriculteurs des Hautes-Alpes et des Alpes-de-Haute-Provence pour tenter de sauver leurs cultures. Ces jours de lutte ont, sans conteste, épuisé les corps et le moral de bon nombre d’entre eux.

Des mois de février et mars plus que cléments avec des températures bien au-dessus de la normale avaient favorisé la végétation des cultures et bon nombre d’entre elles affichaient une belle avance. Cependant, la première semaine d’avril a réduit à néant le travail de nombreux agriculteurs qui, pour certains, pourraient avoir perdu la totalité de leur récolte. Les gelées en avril ne sont pas rares mais pas avec une telle intensité et sur une aussi longue période...

Lire le dossier complet sur le Gel paru dans L'Espace Alpin n° 389 du 30 avril 2021


À lire dans ce dossier Spécial Gel :

- Un épisode météorologique dévastateur et inédit
- Les deux Préfètes en visite sur le terrain
- Dégâts de gel sur céréales : diagnostiquer et réagir
- Les aides
- Témoignages :
  • Une atteinte très hétérogène 
    Alexandre Schultz exploite 18 ha d’amandiers sur le plateau de Valensole, comme beaucoup, il est dans l’expectative
     
  • Une vigne figée par le froid
    Frédéric Port, viticulteur et vice-président de la cave coopérative de Pierrevert se montre inquiet pour l’avenir de la récolte
     
  • « Une plaie importante qui sera longue à cicatriser »
    Jérôme Samuel cultive des pommiers et des poiriers dans les Hautes-Alpes, il a été très surpris par cet épisode atypique
     
  • « Je ne suis pas le plus mal loti car il me reste des fruits »
    Didier Arnaud possède 12 ha de fruits à noyaux à Volonne, il estime ses pertes autour de 30 à 50 % selon les parcelles
     
  • Quand l’eau salvatrice devient destructrice
    Michèle Margiotta, arboricultrice haut-alpine, a réussi à sauver une partie de ses vergers grâce à ses tours à vent accolées à des chaudières à gasoil
     
  • L’incertitude plane sur les plantes à parfum
    Jean-Michel Cotta est producteur de plantes à parfum mais aussi président de la SCA3P et du Crieppam