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Dossier bio : Le modèle de l'AB face au défi de la croissance

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Plus de bio, à quel prix ? L’agriculture est éligible au plan de relance à hauteur de 1,2 milliard d’euros. « La France de 2030 devra être plus verte, plus respectueuse du climat, a déclaré dans ce cadre le Premier ministre. C’est pourquoi “France Relance” vise à accélérer la conversion écologique de notre économie et de notre système productif. La transformation de nos exploitations agricoles vers le bio et la qualité (…) est aussi à l’ordre du jour… ». Outre le soutien des pouvoirs publics, la progression des volumes agricoles bio pose l’enjeu de la structuration des filières face au risque du cycle baissier des prix, d’un différentiel tarifaire ayant tendance à se réduire entre bio et conventionnel.

Au programme de ce dossier, retrouvez différents articles, reportages, interviews... :
  • L’essor des volumes bio face au risque d’une moindre valorisation
    L’Agence bio a présenté, début juillet, les résultats des productions de l’agriculture biologique pour l’année 2019. La progression se confirme nettement et concerne la globalité du marché qui a doublé son chiffre d’affaires en cinq ans pour atteindre 11,9 milliards en 2019 soit 1,4 milliard de plus qu’en 2018. Dans le contexte de cette croissance soutenue, la préoccupation des acteurs à l’amont de la construction de la chaîne alimentaire est de maintenir une valorisation à la hauteur des engagements économiques, techniques, environnementaux et sociétaux.
     
  • Renforcement du Plan Avenir Bio
     
  • « Nous avons besoin d’un regard plus précis sur l’ensemble de la filière »
    Élu en charge du dossier bio à la chambre d’agriculture 05, Pierre Bellot plaide pour une union de tous les acteurs afin de soutenir le potentiel des productions de montagne.
     
  • « C’est un pari, un saut dans l’inconnu »
    Philippe Moranchon, vice-président des Compagnons du fruit bio des Alpes, éprouve depuis 2016, cinq ha de vergers bio.
     
  • Évolution du règlement bio
     
  • « Le plus difficile en vente directe, c’est qu’il faut fournir toute l’année »
    Rémi Chauvet trouve ses débouchés en circuit long et développe son activité sur le marché local en misant sur une grande diversité des variétés cultivées.
     
  • « Ne pas perdre la main sur le bio comme on l’a perdue pour tout le reste »
    De l’élevage à la commercialisation en passant par la transformation, le Gaec Ferrand a fait le choix de l’indépendance.
     
  • Pommes et poires : des débouchés plus intéressants dans l’industrie
    Avec Interfel, la Chambre d’agriculture 84 et Bio de Paca, une conférence dédiée au marché des fruits bio.
     
  • Les ministres de l’Agriculture veulent des analyses d’impact
    Réunis à Luxembourg, les ministres de l’Agriculture ont adopté le 19 octobre leurs conclusions sur la stratégie « de la ferme à la table ».
     

Téléchargez le dossier complet de l'Espace Alpin du 6 novembre 2020