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Dossier viticulture : Un terroir viticole d’avenir

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Le contexte climatique est le facteur clé du vent porteur pour les vignobles d’altitude et les vins de montagne. Leur atout réside principalement dans la fraîcheur et le gradient de températures favorables à la préservation d’une acidité faisant de plus en plus défaut aux vins du sud de la France.

Au programme de ce dossier, retrouvez différents articles, reportages, interviews... :

 

  • Un vent porteur pour les vignobles d’altitude
    Les Alpes-de-Haute-Provence totalisent 900 ha de vignes en production, les Hautes-Alpes, 130 ha. Dans les deux départements se confirme un regain d’intérêt pour le secteur qui renoue avec une pratique historique d’où émerge l’idée d’un terroir viticole d’avenir.
     
  • « Nous sommes les premiers à relancer la vigne et nous ne serons pas les derniers »
    Montfort : Jean-Luc Monteil a créé un site oenotouristique au Domaine des bergeries, où il récolte les premiers fruits de son vignoble planté sur cinq hectares
     
  • « Une des plus belles récoltes »de ces quinze dernières années
    Gréoux-les-Bains : Au domaine de Rousset Thomas Emery prend la relève de ses aïeux, en poursuivant des restructurations qui se tournent aujourd’hui vers l’oenotourisme.
     
  • « Border les nouvelles plantations, sans fermer la porte »
    Pierrevert : La coopérative Petra Veridis favorable à l’accueil d’agriculteurs qui souhaitent planter des vignes à Valensole et Riez.
     
  • « Pour faire des vins expressifs, il faut des sols vivants »
    Theüs : Yann De Agostini s’est installé en 2009 pour parvenir 10 ans plus tard à 6,5 hectares de vignobles en production.
     
  • Le « bel exemple » du Mollard
    Cépage endémique : Le point de vue de Laurent Audequin, ingénieur agronome à l'Institut Français du Vin.
     
  • « Il y a en ce moment, beaucoup de coopérateurs qui plantent »
    Valserres : Aurélien Sarret a en 2016 repris l’exploitation de son oncle Jean qui préside la cave coopérative des Hautes Vignes.
     
  • L’agriculteur renoue avec une activité viticole que pratiquaient ses grands-parents
    Lardier et Valença : Jean-Pierre Nomius a fait le choix d’arracher des pommiers pour planter de la vigne. Sa première vendange sera pour l’an prochain.

 

Téléchargez le dossier complet de l'Espace Alpin du 2 octobre 2020